Ci-dessous, la réaction complète de Laurent David, président d'ADENA, suite à l'article du 30 août 2016.
Le président de l'ACPC, Alain Rouillé a déclaré dans l'article du 30 août : « si on fait plus, on se met en danger » il veut sûrement dire financièrement ! L'avion de voltige a été acheté, il faut le rentabiliser. Cette nuisance sonore n'est qu'une histoire d'argent (le sujet a été évoqué lors de la dernière réunion CCE par monsieur S. responsable voltige: « il faut bien payer les facture ») Avant d'acheter une grosse tondeuse il faut savoir si on va pouvoir l'utiliser tout les jours sachant que l'on tond la pelouse une fois par semaine cela fait coûteux la tonte !!
Le bruit de la voltige est toujours comparé au bruit de la tondeuse du voisin par l'ACPC. A Cholet on peut penser que plusieurs dizaines voir centaines de tondeuses doivent fonctionner en même temps, personnellement je n'en entends aucunes, par contre si l'avion voltige, plus de dix milles personnes l'entendent !!
La DGAC n'a pas à intervenir sur un problème privé (qui est d'ordre financier) celui ci doit se régler en interne de l'ACPC en s'adaptant à la décision du gestionnaire et propriétaire de l’aérodrome à savoir la ville de Cholet.
S'agissant de la recrudescence des vols, les Choletais en on fait le constat sachant que l’activité voltige est très récente mise en place par monsieur S.. Auparavant elle était anecdotique voire inexistante.
Les Choletais ne peuvent plus se reposer étant constamment harcelés par cette activité au bruit infernal, de nombreux Choletais habitants le secteur peuvent en témoigner.
Monsieur Rouillé ajoute : la DGAC ne rigole pas avec la sécurité, la sécurité de qui ? Des voltigeurs ou des Choletais ?
Et le droit à profiter de son cadre de vie on en fait quoi ?
Une demande de document prouvant que la ville de Cholet ne peut quantifier le nombre de vols a été faite auprès de la DGAC par Adena sans réponse pour l'instant, résultat juillet et août totalisent plus de 90 vols de voltige, INFERNAL, été pourri par les nuisances sonores.
ADENA CHOLET
[email protected]
Laurent David
Le bruit de la voltige est toujours comparé au bruit de la tondeuse du voisin par l'ACPC. A Cholet on peut penser que plusieurs dizaines voir centaines de tondeuses doivent fonctionner en même temps, personnellement je n'en entends aucunes, par contre si l'avion voltige, plus de dix milles personnes l'entendent !!
La DGAC n'a pas à intervenir sur un problème privé (qui est d'ordre financier) celui ci doit se régler en interne de l'ACPC en s'adaptant à la décision du gestionnaire et propriétaire de l’aérodrome à savoir la ville de Cholet.
S'agissant de la recrudescence des vols, les Choletais en on fait le constat sachant que l’activité voltige est très récente mise en place par monsieur S.. Auparavant elle était anecdotique voire inexistante.
Les Choletais ne peuvent plus se reposer étant constamment harcelés par cette activité au bruit infernal, de nombreux Choletais habitants le secteur peuvent en témoigner.
Monsieur Rouillé ajoute : la DGAC ne rigole pas avec la sécurité, la sécurité de qui ? Des voltigeurs ou des Choletais ?
Et le droit à profiter de son cadre de vie on en fait quoi ?
Une demande de document prouvant que la ville de Cholet ne peut quantifier le nombre de vols a été faite auprès de la DGAC par Adena sans réponse pour l'instant, résultat juillet et août totalisent plus de 90 vols de voltige, INFERNAL, été pourri par les nuisances sonores.
ADENA CHOLET
[email protected]
Laurent David